La news letter de Céline

Bonjour à tous les fans de Fanac & son équipage (n’y voyez aucun jeu de mot ;-)


Je m’appelle Céline et je suis –comment dire- volontaire pour rédiger une petite « newsletter » à votre attention car je suis (du verbe suivre) les aventures de Fanac avec grand intérêt. Alors voici la première « mouture », vous m’en direz des nouvelles (je compte sur vous).


Le 16 juin
 : Escale à « Cap aux Meules ». Rien que le nom, on se dit : « mais qu’y a-t-il donc sur cette île ? ». Eh bien comme nous l’a dit Manu, Capitaine au long cours, de quoi se ravitailler en carburant & nourriture… à un prix défiant tout concurrence certes, mais bon, quand on a besoin de choses indispensables, il faut bien y mettre le prix n’est-ce pas ? Et cela se vérifie partout : dans notre société de consommation affirmée mais aussi dans d’autres sociétés que l’on voudrait pourtant vierge de tout principes mercantiles mais il faut bien se rendre à l’évidence qu’il n’en n’est rien… A moins de se retirer dans des contrées lointaines pas encore perverties par l’homme avide de pouvoir et d’argent.


Enfin, on va pas refaire le monde tout de suite, prenons notre temps…

Le 17 juin : L’équipage de Fanac fait escale en Gaspésie, quel joli nom ! Et quel joli musée ! si vous allez sur son site (www.museedelagaspesie.ca ) vous n’y trouverez pas la présentation du fameux musée mais le « présentement au musée » intéressant ! les québécois ont un langage bien a eux et tellement charmant !

Je disais donc, en Gaspésie, on peut aussi faire du ski de fond à la saison… mais d’où vient donc ce nom ? J’ai sollicité les amis de Wikipedia pour savoir et voilà ce qu’ils m’ont dit :

« La Gaspésie, ou «péninsule de la Gaspésie» est la péninsule du sud-est du Québec située à l'est de la vallée de la Matapédia, et entourée des eaux du Fleuve St-Laurent au nord, du golfe St-Laurent à l'est et de la baie des Chaleurs au sud. Le nom de Gaspésie est un dérivé du mot Gaspé, du micmac Gespeg qui signifie « fin des terres ».

La Gaspésie est le berceau du Canada lors du débarquement de Jacques Cartier dans la baie de Gaspé en 1534. Quelques deux cents ans plus tard, la Bataille de la Ristigouche en 1760, au fond de la baie des Chaleurs, scelle le sort de la Nouvelle-France lors de la dernière bataille navale, pour la conquête du nouveau monde, entre les deux grandes puissances coloniales de l'époque : la France et l'Angleterre.

Tour à tour terre d’accueil pour les Micmacs, Acadiens, Loyalistes, les pêcheurs basques, bretons, jersiais, les émigrés irlandais, écossais, belges et les migrations des canadiens-français, la Gaspésie en conserve la marque encore aujourd'hui tant par ses toponymes évocateurs que par les différents accents pittoresques qui se succèdent d’un village à l’autre. »

Ca, c’était pour la minute culturelle du moment, car grâce à Fanac, on voyage tous les jours ! Merci Manu (ami très cher) et tout l’équipage, je pense parler au nom de tous vos fans en vous disant : « bon vent » et pour finir, je crois qu’un proverbe de marin serait le bienvenu :

« Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer ! » ou encore (plus sérieux) « Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. » (William Arthur Ward)

A bientôt & comme dirait Manu, « force et vigueur »

Céline







Bonjour à toutes et à tous,

 

L’équipage de Fanac arrive enfin vers un repos bien mérité, ils vont pourvoir poser un peu plus longuement les pieds sur terre !

Le passage dans l’embouchure du St Laurent devait vraiment être de toute beauté à en voir les multiples sites qui vantent ces lieux. J’ai trouvé une très belle photo du fjord sur le site web de Nichole Ouellette de Tadoussac, dans la baie-sainte-Catherine. (il y en a d’autres très jolies avec un petit historique du coin : cliquez ici)

 

Quand Manu dit : « Nous n'avons pas le temps de flâner, c'est malheureux car les paysages mériteraient qu'on s'y promène» il ne plaisante pas !!!



Tadoussac se situe dans l’estuaire maritime du St Laurent. Le Saint-Laurent est l'un des plus grands fleuves du monde, tant sur le plan de la longueur que sur ceux du débit et de la surface du bassin de drainage. Avec ses 3 060 km, il se place su 19e rang à l'échelle mondiale pour ce qui est de la longueur. Il passe au 13e rang en ce qui concerne le débit moyen; le sien est en effet de 10 100 m3 d'eau à la seconde. Quant à la surface de son bassin de drainage, qui est d'environ 1 300 000 km2, elle est comparable à celles de la Volga, en Europe et du Gange, en Inde. Issu des grands Lacs, qui lui fournissent les quatre cinquièmes de son eau, le Saint-Laurent draine près de 10% des réserves mondiales d'eau douce. Pas surprenant que les Micmacs lui aient donné le nom de Magtogoek, c'est-à-dire "fleuve aux grandes eaux". D'amont en aval, le Saint-Laurent se transforme. La force de ses courants, sa salinité, la hauteur de ses marées et de ses vagues, cet immense cours d'eau se divise donc en cinq secteurs hydrographiques: le tronçon fluvial, l'estuaire fluvial, le moyen estuaire, l'estuaire maritime et le golfe.

Bravo à l’équipage de Fanac, opération réussie, vous aurez réussi à nous faire découvrir une multitude de trésors culturels & géographiques !! A ce sujet, je suis tombée sur un site très attrayant pour les enfants (et les enseignants). C’est un site québécois sur le développement durable, l’environnement et les parcs de la région de Québec. Avec toute une bande de gentils personnages, vous pourrez avoir accès à tout plein d’activités en allant sur le coin de Rafale.


Allez une petite citation pour finir : « Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer. » Voltaire

Sur ce, bon vent et « force & vigueur 

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